Commission sur le large bande au service du développement durable
L’UNESCO et la Commission sur le large bande au service du développement durable
L’UNESCO et l’Union internationale des télécommunications (UIT) ont cofondé la Commission sur le large bande au service du développement durable. Ce partenariat public/privé met en relation les PDG du secteur avec les dirigeants de la société civile et intergouvernementale pour contribuer à mettre en place le Programme à l’horizon 2030 par l’intermédiaire des technologies mobiles et large bande pour l’accès universel à l’information. Depuis sa création en 2010, la Commission sur le large bande a été présidée sous la forme de mandats de deux ans par S. E. Paul Kagame, Président du Rwanda et Carlos Slim, entrepreneur et philanthrope mexicain.
La Commission sur le large bande est notamment reconnue pour sa production de recherches de qualité et de recommandations politiques, ainsi que pour ses rapports annuels phares sur la situation du large bande.
En 2022, l’UNESCO coprésidera deux nouveaux groupes de travail de la Commission sur le large bande sur le renforcement des capacités en matière d’IA et les données pour l’apprentissage.
Rapports
Liste des rapports de la Commission sur le large bande au service du développement durable.
Le rapport 2023, Connectivité numérique : une opportunité de transformation, examine le passage d'un accès aux communications axé sur l'offre à un accès aux communications axé sur la demande, fournissant un aperçu des considérations de financement et de financement nécessaires pour soutenir la prochaine étape de connectivité pour la transformation numérique.
Le rapport « Stratégies vers un accès universel aux smartphones » du groupe de travail de la Commission sur le haut débit sur l'accès aux smartphones représente la première analyse multipartite sur le thème de l'accès aux smartphones.
Le groupe de travail sur les modèles de financement du 21e siècle pour le développement durable du large bande a été créé en tant que groupe intersectoriel de dirigeants représentant les autorités réglementaires nationales, les opérateurs de télécommunications, les institutions financières, les associations commerciales, les universitaires et les organisations de développement à but non lucratif, sous les auspices de la Commission sur le large bande au service du développement durable.
Boîte à outils promotionnelle accompagnant le rapport : Le rapport du groupe de travail sur l’apprentissage numérique présente une série de facteurs qui devraient être mis en place pour que l’apprentissage hybride soit une option viable pour les étudiants, ce qui nécessite une planification délibérée, une prise de décisions éclairée et un investissement substantiel. Il aborde les considérations relatives à l’accès à l’apprentissage hybride.
Face à la pandémie de COVID-19, le monde entier a déployé d’immenses efforts pour vaincre le virus. Alors que les gouvernements et les secteurs médicaux se concentrent sur le traitement et le développement de vaccins et de médicaments, le secteur des TIC joue également un rôle central en permettant à diverses activités économiques de se développer.
La nécessité d’agir contre la désinformation a été reconnue par la Commission UIT/UNESCO sur le large bande au service du développement durable. La Commission a créé un groupe de travail sur la liberté d’expression et la lutte contre la désinformation, qui a lui-même commandé cette étude mondiale complète en 2019. Les recherches qui sous-tendent cette étude ont été menées en septembre 2019.
L’éducation, l’Internet et la connectivité large bande ont un vaste potentiel pour résoudre certains des défis les plus pressants du monde, notamment la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD). Néanmoins, aujourd’hui encore, 3,6 milliards d’individus n’ont pas accès à l’Internet et environ 258 millions d’enfants ne sont pas scolarisés.
Le rapport de cette année sur la situation du large bande reflète les réalités de 2020, alors que le monde a été confronté à une pandémie globale qui a perturbé les économies mondiales et locales, les systèmes de soins de santé et l’éducation, et qui a surtout mis en évidence le rôle crucial que joue le haut débit pour connecter le monde et maintenir les sociétés fortes.
Le manifeste de la Commission sur le large bande appelle la communauté internationale à reconnaître la connectivité numérique comme l’élément fondamental du Programme de développement durable à l’horizon 2030 de l’ONU. Le manifeste affirme l’engagement de la Commission sur le large bande à mobiliser les efforts pour atteindre l’« objectif mondial de connectivité universelle » en soutenant la feuille de route du Secrétaire général de l’ONU pour la coopération numérique et d’autres initiatives de connectivité.
Les membres de la Commission et leurs organisations collaborent de toute urgence à la compilation et à la diffusion d’un référentiel d’actions concrètes reposant sur les trois piliers que sont la connectivité résiliente, l’accès abordable et l’utilisation sûre des services en ligne pour des sociétés informées et éduquées, afin d’atténuer l’impact de la pandémie de COVID-19 et ses effets négatifs immédiats.
Les technologies et l’économie numériques auront un impact transformateur sur le développement. L’économie actuelle est portée par la transformation numérique dans tous les secteurs et le numérique est de plus en plus au centre de la vie quotidienne des gens. En effet, plusieurs Objectifs de développement durable (ODD) ont besoin de technologies de l’information et de la communication (TIC) comme catalyseurs, notamment pour parvenir à l’identification universelle, à une prestation plus efficace des services publics, à l’inclusion financière et à la création d’emplois. En outre, la transformation numérique aura un impact sur des secteurs clés de l’économie, tels que la santé, l’agriculture, l’éducation et le commerce, entre autres, et répondra aux besoins des individus, des gouvernements et du secteur privé, ce qui en fera un outil essentiel pour l’accès des personnes aux droits et aux services, ainsi que pour une meilleure gouvernance.
Une connectivité abordable et fiable est présente dans plus de pays que jamais. Elle peut transformer la vie des enfants, en leur donnant accès à des opportunités éducatives, culturelles et économiques jusque-là inimaginables. Mais trop souvent, les enfants ne peuvent pas saisir ces opportunités, car l’Internet est aussi un lieu dans lequel les personnes vulnérables sont exposées au risque de graves préjudices.
Les approches traditionnelles visant à stimuler le déploiement et l’adoption des réseaux Internet ne parviennent pas à atteindre la moitié restante de la population mondiale qui n’a toujours pas d’accès en ligne. Pour contrer le ralentissement de la croissance mondiale, le document « La situation du large bande en 2019 : le large bande, fondement du développement durable » préconise de nouvelles stratégies de collaboration pour promouvoir le concept d’« universalité significative ».
En mars 2017, le groupe de travail de la Commission sur le large bande au service du développement durable sur la fracture numérique entre les sexes, coprésidé par la GSMA et l’UNESCO, a lancé un rapport qui présente un ensemble de recommandations d’actions que les parties prenantes peuvent prendre pour combler l’écart entre les sexes en matière d’accès et d’utilisation de l’Internet.
La situation du large bande en 2018 : Le rapport « Le large bande, catalyseur du développement durable » a été publié le 11 septembre 2018 à l’occasion de l’événement Telecom de l’UIT à Durban, en Afrique du Sud. Le rapport annuel « La situation du large bande » est un aperçu mondial unique de l’accès aux réseaux large bande et de leur caractère abordable, avec des données pays par pays mesurant l’accès au large bande par rapport aux nouveaux objectifs de sensibilisation fixés par la Commission en 2018.
En mars 2017, le groupe de travail de la Commission sur le large bande au service du développement durable sur la fracture numérique entre les sexes, coprésidé par la GSMA et l’UNESCO, a lancé un rapport qui présente un ensemble de recommandations d’actions que les parties prenantes peuvent prendre pour combler l’écart entre les sexes en matière d’accès et d’utilisation de l’Internet.
Les technologies numériques sous-tendent désormais une participation efficace dans des domaines clés de la vie et du travail. Outre l’accès aux technologies, les aptitudes et les compétences nécessaires pour utiliser le numérique et bénéficier de sa puissance et de ses fonctionnalités croissantes n’ont jamais été aussi essentielles.
Le rapport annuel « La situation du large bande » de la Commission sur le large bande a été publié le 21 septembre 2014 à l’occasion de la 10e réunion de la Commission à New York.
Publié à New York à l’occasion de la 8e réunion de la Commission sur le large bande pour le développement numérique, le rapport révèle que les abonnements au large bande mobile, qui permettent aux utilisateurs d’accéder à Internet via des smartphones, des tablettes et des ordinateurs portables connectés au WiFi, sont en augmentation de 30 % par an. D’ici fin 2013, il y aura plus de trois fois plus de connexions large bande mobiles que d’abonnements large bande fixes classiques.
Lancé lors de la sixième réunion de la Commission à New York en septembre 2012, le rapport évalue le déploiement du large bande dans le monde et suit les avancées dans la réalisation des quatre objectifs fixés par la Commission en 2011 pour rendre le large bande plus abordable et répandu. Il fournit des classements par pays pour 177 économies en fonction de l’impact économique, de la pénétration, de la politique nationale en matière de large bande et de la connexion des individus et des habitations.